Gâteau de crêpes
Après l’Epiphanie, c’est au tour des crêpes de s’inviter à table pour la Chandeleur ! Une nouvelle recette extra gourmande à découvrir.
Cette farine de blé T65 est réalisée à partir de 7 variétés de blés de semences paysannes qui ont été sélectionnées pour leurs complémentarités, et leurs qualités nutritives et gustatives.
Réalisée par le procédé traditionnel de la meule de pierre, cette farine est écrasée doucement par faible pression, respectant ses propriétés nutritives contenus dans ces variétés de blés.
C’est une farine vivante, gage de grande qualité et d’exception.
À partir de 2,80 €
TECHNIQUES TRADITIONNELLES
ET ÉQUIPEMENTS DE POINTE
Cette farine de blé T65 – ou farine tradition– est réalisée selon le procédé ancestral de la meule de pierre. Nos meules sont en granit monobloc du Massif du Sidobre, dans le Tarn.
Ce procédé artisanal donne une mouture de farine d’une texture unique. L’entièreté du grain avec tous ses éléments – l’amande, le son et le germe – sont écrasés doucement. Le grain n’est pas chauffé, ni oxydé.
On obtient ainsi une farine qui respecte le travail du paysan ; une farine de terroir.
Tous les éléments du grain sont mélangés lors de la rotation de la meule, en résultant une farine homogène. L’enveloppe (le son) ainsi que le germe du grain de blé sont le siège des vitamines et des sels minéraux. Leurs présences dans la farine permettent de conserver les vitamines (E, du groupe B), les sels minéraux (phosphore, zinc, magnésium, manganèse, fer, potassium, cuivre), les fibres et les protéines.
Notre farine est donc l’exact reflet du grain.
L’enveloppe des grains de blés est poncée pour en extraire les cellules de l’assise protéique et les restituer à la farine. Ces enzymes permettent l’hydrolyse de l’amidon, et donc un pain digeste et sain.
Une telle farine est à la base d’une alimentation saine et équilibrée.
Pour chaque farine, l’origine est connue grâce à la traçabilité établie du lot de blé jusqu’au sac de farine.
Notre farine est 100% grain de blé issus de nos champs.
Aucun additif ou adjuvant qui modifie les propriétés de la farine n’est mélangé ou ajouté. Pas non plus d’auxiliaire technologique qui facilite ou optimise une étape de la fabrication de préparation boulangère ou pâtissière.
Tout commence par une agriculture du soin
Pour une bonne qualité de la farine, la façon dont le grain est écrasé est aussi important que la qualité du blé, et la manière dont il est cultivé.
Indépendant de la semence à l’ensachage, nous avons semé ces variétés de blés, et les avons cultivés avec passion.
En rotation de culture avec des légumineuses qui ont apporté de l’azote au sol, nos terres argilo-calcaires sont cultivées en bio, et sans labour du sol. Tout est fait pour le respecter et favoriser sa structure, sa vie. Ainsi la plante a bénéficié de l’activité des micros organismes, des oligo- éléments, pour un grain de blé de grande qualité gustative et nutritionnelle.
Une fois moissonnés, les grains de blé ont été méticuleusement triés par nos procédés de haute technologie.
Un sol vivant et riche, pour un produit authentique de grande qualité.
NOS SYMBOLES : la diversité et la complémentarité
La diversité des 7 variétés de blés semées dans le même champ en même temps sont l’exemple de la diversité que vous retrouverez dans nos farines. De toutes les couleurs, de toutes les formes, de toutes les tailles, nos sept variétés cohabitent pour révéler ce qu’elles ont de meilleur en fonction du sol et du climat. Les variétés ainsi mélangées sont complémentaires.
C’est un travail rigoureux d’évaluation qui a permis à Jean Christophe Chassaigne de sélectionner les meilleures graines selon nos terroirs, notre climat, et pour leurs qualités gustatives et nutritionnelles.
Nous utilisons comme semence des graines provenant de nos récoltes. Ainsi, au fil du temps par le biais de la sélection naturelle et de l’expérience de vie qu’elles transmettent dans leurs gènes, les plantes s’adaptent aux spécificités de nos sols, à notre climat, deviennent plus résistantes.
Notre mélange de blés révèle des caractéristiques typiques, celles de nos sols, auquel nous accordons la plus grande attention, entre autres par la pratique du non-labour. Ainsi elles expriment pleinement nos terroirs, en lien avec les nutriments qui se trouvent dans le sol, et les besoins de la plante.
Une logique retrouvée
Ces blés renouent avec les principes fondamentaux de l’agriculture : diversité, respect de la terre, et adaptation au terroir. Nos arrière-grands-parents consommaient ces blés, à l’époque d’une agriculture paysanne et vivrière. Une alimentation saine par une agriculture respectueuse.
Cuisinier nos farines c’est expérimenter de nouvelles sensations. |
La texture, l’odeur, le goût, et la réaction avec l’eau vont être représentatif des spécificités de nos procédés agricoles, de la technique d’écrasement, et bien sûr de la graine sélectionnée.
Cette farine dite « de tradition », considérée comme blanche, est un bon compromis entre une farine raffinée et une farine semi-complète. Elle est d’une densité légère, et assez peu typée.
Celle-ci passe partout, et vous permettra de réaliser toutes sortes de délicieuses préparations. Elle est particulièrement appropriée pour les préparations pâtissières.
– en salé : pains, pates à tartes, sauces, panures, cakes…
– en sucré : cakes, pains spéciaux sucrés, biscuits, gâteaux, madeleines, muffins, crêpes pâtes à tarte…
Pour plus d’originalité, il est possible de la mélanger à des farines sans gluten légèrement typées : farine de lentille verte, farine de pois chiche, farine de maïs, ou encore farine de sarrasin par exemple en fonction de vos recettes.
Cette farine possède un gluten plus délicat, moins mécanique que les glutens modernes.
Elle est particulièrement adaptée à la panification au levain naturel.
Cette fermentation va révéler tous les arômes et les nutriments de la farine. Il existe des levains déshydratés en magasin bio. Réaliser un levain “maison”, est très simple, mais demande un peu d’attention au quotidien. On peut également confectionner des pains à base de levure, plus simples pour les boulangers débutants.
La pâte ne nécessite pas d’être pétrie longuement. Le mélange de nos 7 variétés de blés est composé de variétés anciennes, avec une farine qui contient donc des glutens moins fort que ceux des blés modernes. Vous gagnerez ainsi en temps, et de l’énergie en pétrissage. Le temps de levée nécessaire sera un peu plus long pour que les réactions enzymatiques nécessairesà la bonne transformation et prédigestions des divers nutriments se réalisent.
Ce produit est conditionné sous atmosphère protectrice. Après ouverture, à conserver au sec et à l’abri de la lumière.
Découvrez nos recettes
Après l’Epiphanie, c’est au tour des crêpes de s’inviter à table pour la Chandeleur ! Une nouvelle recette extra gourmande à découvrir. Vous allez l’ADORER ! En tartine salée ou pour le petit déjeuner, grillé ou non, cette délicieuse recette de pain aux graines regorge de nutriments. Une nouvelle recette de délicieux cookies bien choco, facile et si gourmande !! La délicieuse recette de ce pain méditerranéen simple à réaliser qui épatera convive et famille. La foccacia se déguste aussi bien à l’apéro avec un peu de tapenade, du fromage, ou garnie de champignons ou tomates confites, ou à table en remplacement du pain.Gâteau de crêpes
Pain aux graines
Cookies choco intense
Focaccia à la farine T65
Le « T » sur les sachets de farine, suivi d’un chiffre allant de 45 à 150, correspond au taux de cendre. Plus précisément c’est la quantité de résidus minéraux encore présents dans la farine après tamisage. Après broyage du grain une étape essentielle consiste à passer la farine dans des tamis ou « blutoirs » qui séparent les particules plus grossières que l’amidon, qui lui est très fin.
En tamisant plus ou moins fin on obtient donc la farine au taux de cendres désiré. Ce procédé permet d’avoir une farine plus ou moins riche en minéraux, qui lèvera plus au moins dans les cuissons, pour des préparations plus ou moins typées.
Pour le mesurer, on prend 100 grammes de farine, que l’on fait bruler à 900 degrés pendant 2 heures. Les cendres restantes proviennent principalement de l’enveloppe du grain, le son.
Plus le chiffre du type est élevé, plus la farine est riche en minéraux et oligo-éléments car elle contient plus de son, et plus la farine est foncée.
Moins le taux de cendres est élevé, plus la farine est riche en albumen et donc en gluten, et plus elle est blanche.
Le raffinage des farines est généralement référencé dans 6 « Types » de farines.
La farine T45 est très raffinée et donc très légère et très blanche. On la réserve pour les pâtisseries fines. Son indice glycémique est élevé.
La farine T55 est appelée « farine blanche ». Elle contient très peu de minéraux, et sert principalement à la pâtisserie légère, les viennoiseries, au pain blanc et aux pâtes à pizzas.
La farine de blé type T65 est dite « farine de tradition ». Elle est fluide et sert pour la pâtisserie maison classique telle que les muffins, les pâtes à tarte, les cakes… et peut s’utiliser seule ou en mélange avec d’autres farines. Elle est idéale pour le pain tradition et les pâtes à pizzas.
La farine de blé type T80 est appelée « farine de campagne », ou « bise », ou encore « semi-complète ». Elle a gardé une partie des enveloppes externes du grain de blé.
Elle est le bon compromis pour réaliser toutes sortes de recettes : pains de campagne, gâteaux maison…
La farine de blé type T110 est dite « farine complète ». Elle est plus dense qu’une farine « bise » car elle a gardé une bonne partie du son.
Elle donne un goût et un aspect rustiques aux recettes.
Elle est parfaite pour les pains complets et les recettes qui ont du caractère.
La farine type T150 est dite « farine intégrale ». Elle se compose de la totalité du grain et est utilisée pour la fabrication du pain intégral, pain à la mie foncée très dense.
Aux origines de l’agriculture
L’histoire du blé commence il y a 500.000 ans, avec la cueillette de graminées sauvages. L’homme cultive les premières graminées sauvages qu’il a repérées, issues de croisements spontanés. C’est entre 8900 et 7000 av. JC. qu’il est domestiqué. Les premiers blés à servir de nourriture à l’homme ont été l’engrain sauvage, puis l’engrain cultivé.
Au fil des croisements une nouvelle espèce voit le jour : le Triticum aestivum qui donnera les blés tendres dont les premiers sont appelés épeautres.
Durant l’Antiquité, les échanges entre blés grecs et romains enrichissent la base génétique.
C’est en Syrie et en Turquie actuelle qu’ont eu lieu les premières domestications des blés, au même titre que les huit cultures fondatrices du Néolithique avec l’engrain, l’amidonnier, l’orge, la lentille, les pois, la vesce, et le lin.
L’arrêt progressif du mode de vie chasseur-cueilleur entraîne la domestication de ces plantes. C’est à cette époque que se développent les techniques de stockage qui permettent la création des premières communautés villageoises ; les premières sociétés sédentaires.
15 000 à 20 000 ans s’écoulent entre le moment où l’être humain cultive le premier blé et le moment où il en en fait du pain et des pâtes alimentaires.
Tous ces blés avaient pourtant un inconvénient : leurs balles qui adhéraient à la graine étaient difficile à éliminer. Par le jeu de croisements apparaîtront les espèces dites « à grains nus » qui sont devenus nos blés modernes.
Les premières préparations de grains broyées entre deux pierres dateraient d’il y a 75 000 ans, alors que les premières preuves archéologiques de graines de blé écrasées entre de simples meules pour fabriquer de la farine datent de 6000 avant JC. Les Egyptiens utilisaient le mortier et le pilon. Dans la Grèce antique, la meule tournante activée à bras d’homme ou par des animaux succéda à ces instruments primitifs.
L’arrivée du blé en France remonte probablement au Vème siècle av.J-C. au moment où les Francs se sédentarisent en Gaule.
Le blé fait partie des trois grandes céréales cultivées et consommées dans le monde avec le maïs et le riz. C’est avec le riz la plus consommée par l’homme. Le blé est dans la civilisation occidentale et au Moyen-Orient un composant central de l’alimentation humaine, qui l’accompagne dans toute son histoire.
Le blé appartient à la famille des graminées, c’est-à-dire étymologiquement « producteur de grains ». En botanique on préfère le terme de Poacées, par référence au genre plus commun dans la nature, le poa. Cette famille végétale compte environ 2500 espèces répandues pratiquement sur toute la surface des continents. C’est un groupe remarquablement homogène et facile à reconnaître.
Les tiges cylindriques, creuses, garnies de nœuds et rarement ramifiées qui reste sur pied après la moisson se nomment les chaumes.
L’épi (du latin spica, la pointe) est une inflorescence. En fait, c’est une grappe dont les fleurs sont directement attachées sur la tige. Cela donne à l’inflorescence une forme dense, étroite, allongée, en pointe.
L’épi de blé est composé, c’est-à-dire formé lui-même d’épis attachés directement sur l’axe principal.
L’inflorescence des graminées est l’épillet, qui regroupe quelques fleurs, voire une seule, et qui est lui-même assemblé dans une inflorescence composée qui peut être un épi d’épillets.
Le terme « blé » viendrait de blâd, emprunté au latin bladumqui qui signifie « récolte, produit de la terre, de la vigne ». Blad qui viendrait des Francs, peuple non sédentarisé, étant arrivés tardivement en Gaule d’une région où la culture du blé n’était pas pratiquée. Il est aussi possible que ce mot vienne du gaulois blato; soit la « farine » !
Le terme apparaît dans la langue française écrite en 1080. « Blé » a longtemps désigné toutes les céréales indifféremment.
« Farine » vient du latin farīna, dérivé de far, faris (« froment », « blé », « gruau », « épeautre »).
En fonction de l’aspect du grain et du degré de dureté à la mouture on distingue plusieurs types de blés dont l’utilisation est différente : les blés durs et blés tendres.
Plusieurs espèces appartiennent au genre Triticum :
Le blé d’hiver qui est semé en septembre / octobre se distingue par son besoin de vernalisation, ou exposition à une période de froid.
La vernalisation désigne le besoin du blé de subir une période de basses températures, qui permettront de déclencher par la suite son stade de floraison. Il s’agit d’une caractéristique héréditaire empêchant le blé d’hiver de développer un système floral trop tôt, qui risquerait alors d’être endommagé par le froid. La réaction des plantes à la vernalisation dépend de deux facteurs : les températures et la durée de la vernalisation. La température à laquelle la vernalisation est pleinement effective est généralement comprise entre 3 et 10 °C.
Avant l’hiver et avec les pluies d’automnes, les grains ont le temps de germer et de développer un système racinaire suffisant pour passer la mauvaise saison. Ce n’est qu’au printemps suivant qu’a lieu le tallage. Les frêles tiges de blé se fortifient et forment une touffe.
Fin avril vient le temps de la montaison. La tige s’allonge pour atteindre sa taille adulte qui varie en fonction des variétés de blé.
Enfin, l’épi de blé dur commence à se former en juin / juillet ; cette étape se nomme l’épiaison.
Chaque tige de blé porte un seul épi. Ce dernier est en fait constitué de « fleurs ». Les grains naissent lorsque les fleurs sont fécondées. Lorsque la tige est sèche et que l’épi se courbe vers le bas, c’est le moment de la moisson.
Nature du sol : Argilo calcaire et limoneux, exposé aux rayons du soleil du Sud-Ouest de la France.
Méthode de culture : agriculture biologique, sans labour, faux semis, couvert végétal l’hiver, désherbage mécanique.
Le désherbage reste cependant un point délicat en agriculture biologique. On utilise les techniques suivantes : faux semis avant semis, étrillages en début de végétation.
Triage et stockage : Nettoyeur séparateur, épierrage, et triage optique. Stockage en silo.
Semis : Fin octobre /Novembre
Récolte : Juillet
Pour une alimentationen pleine santé…
Grace à l’écrasement du grain avec le procédé de la meule de pierre, toutes les propriétés du grain de blé sont conservées : les vitamine E, les vitamines B1, B2, B3, B5, B6 et B9, et les sels minéraux : phosphore, zinc, magnésium, manganèse, fer, potassium, cuivre.
Cette farine est une bonne source de fibres et de protéines.
VALEURS NUTRITIONNELLES |
1494 kJ/100g – 352 kcal/100g |
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Valeur énergétique |
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Gluten, Soja, Moutarde (sauvage).
Le Saviez vous ?
Quelques expressions de la langue française référant au produit que nous affectionnons tous au quotidien…
Signifie dépenser sa fortune avant de l’acquérir, dilapider son capital avant de l’avoir reçu. Ce dicton date du début du XVIème siècle. Le blé n’acquiert de valeur qu’arrivé à maturité sinon, il ne servirait pratiquement à rien car il n’aura pas de valeur financière, ni nutritive. Celui qui mange son blé en herbe dépense son revenu avant de l’avoir gagné.
C’est ne pas faire preuve de malveillance.
C’est subvenir à ses besoins
Nos autres produits :
Seuls les clients connectés ayant acheté ce produit ont la possibilité de laisser un avis.
Emeline P. (client confirmé) –
Yvan TROPPI (client confirmé) –
Isabelle (client confirmé) –
Très satisfaite du produit et du service client. Merci à vous.
clotilde (client confirmé) –
Je suis ravie. La livraison a été ultra rapide et les farines que j’ai commandées m’ont permis de faire du pain délicieux, bien meilleur que tous ceux que je faisais auparavant.
Richard Chodkowski (client confirmé) –
Jacques B. (client confirmé) –
Super, livraison rapide et qualité du produit.
Parfait!
REGIS THIEBAUGEORGES (client confirmé) –
Olivier W. (client confirmé) –
Jean-marie CHEVALLIER (client confirmé) –
très bonne farine
Christian –
Très bonne farine pour la baguette
Guy Minand –
Catherine MONTHEIL –
Dominique Cavailhez –
Parfaite pour le pain de tous les jours. Farine plus fraiche que dans n’importe quel magasin.
Fabienne W. –
Excellente farine, livrée rapidemment
Catherine –
Michael Riccioli –
Très bien
Philippe Touchard –
ALBERT SUAREZ –
ERIC D. –
Parfaite pour la réalisation de mon levain et mes pains
Coriolan Chagnot –
Au top, très bonne farine de qualité
Bernard Richard –
ERIC DEMONGIVERT –
G. –
On sent vraiment la différence de cette farine grâce aux meules de pierre. Bien hydratée le résultat est remarquable. Félicitations pour votre travail.
GEHIN LIONEL –
Très bien pour faire mon pain sur levain en longue fermentation au frais (20% du mélange, pour le « gonflant »)
fabien nazart –
J’ai adopté cette farine pour l’instant, je la trouve mieux pour le levain (pain et pizza) que la « blés ancien » de Celnat qui est pas à la meule. Celle-ci boit plus d’eau, lève mieux. en plus les dates de production et d’utilisation sont très bonnes.
Sylvie W. –
Anonyme –
Danièle P. –
idem
Sylvie W. –
Farine de qualité utilisée quotidiennement.
MARC ENTE –
En ajout dans les smoothies ou salade c est parfait
Danièle –
Michel Levy –
Il me semble que cette farine absorbé moins l’eau que la moyenne
Denis F. –
Michele Maka –
Bonjour, pas grand chose à dire sauf qu elle est super extra
Regine T. –
Parfait pour le pain maison
Catherine L. –
Parfaite pour la pâtisserie
Frédéric –
BRIGITTE BOURGUIGNON –
Je prends cette farine écrasée à la meule de pierre, car la petite amie de mon fils, intolérante au gluten, peut se servir de celle-ci sans aucun problème. Alors c’est tout juste parfait elle revit. Un grand merci.
Famille Cappiello –
Jeanne G. –
EVELYNE B. –
Excellente farine qui permet de réaliser des quiches et tartes fabuleuses qui régalent les gourmands
Anonyme –
Jerome –
Anonyme –
Conforme à mes attentes
Anonyme –
Nathalie G. –
GREGORY B. –
VERONIQUE –
Regine T. –
Farine parfaite pour faire le pain maison