Traditionnellement cultivé au Népal, et en Sibérie, la plante aurait voyagé du sud-ouest de la Chine, où elle aurait été domestiquée avant notre ère, jusqu’au Japon il y a au moins 3 000 ans, comme en témoignent des vestiges archéologiques trouvés dans ce pays. Le sarrasin s’implante beaucoup plus tardivement en Europe au XIVe siècle avec les échanges commerciaux entre l’Orient et l’Occident, après un passage par la Russie, où elle prendra une grande importance
Elle traversera l’Atlantique avec les premiers immigrants qui, bien souvent, la sèmeront en tête de rotation, car elle a la propriété de décompacter le sol et de le nettoyer de ses mauvaises herbes.
En Amérique du Nord, le sarrasin sera longtemps le grain le plus consommé par les classes ouvrières et paysannes, avant de perdre du terrain au profit des autres céréales comme le blé ou le maïs dont la consommation explosera. Ainsi, de 1918 à 1964, le nombre d’hectares consacrés à sa culture aux États-Unis passera de 400 000 à 20 000, et une tendance semblable s’observera au Canada. En Europe de l’Est, sa popularité ne se démentira jamais et, encore aujourd’hui, il figure régulièrement au menu. Soulignons toutefois qu’il connaît depuis peu un regain d’intérêt en Occident, notamment grâce à ses propriétés nutritionnelles et à sa bonne digestibilité recherchée par les épicuriens d’une alimentation saine.
Les principaux pays producteurs sont la Chine, la Russie, l’Ukraine et le Kazakhstan, mais on le cultive également dans de nombreux pays d’Asie, sur les terres improductives qui ne conviennent pas aux autres céréales. Dans les régions montagneuses, il constitue, avec l’orge, une importante culture de subsistance en plus de servir à l’alimentation des animaux d’élevage.
En France, ce sont la Bretagne, l’Auvergne, le Limousin, la Normandie ou encore les Pyrénées qui le cultivent, car le sarrasin s’accommode assez bien d’un sol humide qui lui rappelle ses origines des hauts plateaux de l’Asie centrale.
L’industrie pharmaceutique extrait des fleurs et des feuilles divers antioxydants, dont la rutine.
Emeline P. (client confirmé) –
jean-luc (client confirmé) –
Jocelyne B. (client confirmé) –
bonne appréciation pour faire mes galettes
Cécile BORY (client confirmé) –
Pas encore goûtée
GERARD BARRANGER (client confirmé) –
excellent saupoudrée sur les hors-d’oeuvres .
Maryse Werts (client confirmé) –
J’ai fait un gâteau avec la farine de blé Ah! quel senteur.
CHRISTINE –
Très bonne farine pour faire du pain, des crêpes…
CHRISTINE –
Satisfait bon produit
Anonyme –
Le moulin ou je m’approvisionnai est passé à la farine espagnole..même bio c’est pas la joie! Depuis le mois de mai je fais mon pain avec de la farine de chez alliance. j’ai testé 2 farine de blé et une sarrasin.. Quant on change de farine il y a toujours une adaptation, force, levée….etc une fois bien compris c’est nickel! . J’ai démarré un nouveau levain…juste eau et farine. C’est une farine qui vie bien. je nourri mon levain tous les 3 à 4 jours..aucun probléme! Pour le goût: que du bonheur! Pour les amoureux du pain.
Gulliemant Jacques. –
J’ai réalisé de délicieuses galettes avec cette farine intégrale de sarrasin . Indispensable d’utiliser un produit bio.
Marie-Pierre –
Farine délicieuse et idéale pour faire des galettes. Très bonne qualité
jean-bernard Huyghe –
Catherine L. –
Bonnes crêpes en perspective
Ludivine D. –
Robert –
DANY BARRY –
VERONIQUE –