Cake pois chiche / basilic / cumin
Les quelques pois chiches mis de côté, pour le dressage, peuvent se chauffer à part, avec une pointe de gingembre râpé et amandes concassées, le tout déglacé au vieux vinaigre de vin.
Le goût de cette légumineuse se rapproche du pois et de la fève. Le pois carré est l’un des plus ancien légume sec consommé.
Il est riche en protéines, acides gras insaturés, et en nombreux minéraux et vitamines.
Le pois carré qui se cuisine de multiples façons mérite de retrouver le devant de la scène, et de faire valoir ses lettres de noblesse dans la catégorie des légumes anciens de nos territoires !
3,90 €
Poids | 0,5 kg |
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Dimensions | 10 × 6 × 18 cm |
TECHNIQUES TRADITIONNELLES
ET ÉQUIPEMENTS DE POINTE
12h
60 mn
60 à 80g / pers
Simplissime
– Salez toujours en fin de cuisson, pour éviter de les faire éclater, de durcir leur enveloppe et de rallonger leur temps de cuisson.
– Une pincée de bicarbonate alimentaire permet de rendre plus digeste les légumineuses et de raccourcir leur temps de cuisson.
– Un bouillon d’herbes aromatique à base de thym, origan ou sarriette, laurier… facilite la digestion des légumes secs.
Suivez les conseils de Chef Philippe pour les cuissons et techniques de trempage des graines !
Le conseil cuisine
Ce légume sec s’associe très bien avec la tomate et les céréales telles que le boulgour ou le petit épeautre.
Le pois carré, par sa ressemblance au pois sec et à la févette, est un ingrédient qui se cuisine de multiples façons. Il est idéal pour une soupe d’hiver, et bien sûr en plat mijoté.
Nature du sol : Sols argileux frais, riches en nutriments et en calcaire.
Méthode de culture : Agriculture biologique, sans labour, désherbage mécanique. Semé en association avec du blé.
Triage et stockage : Triage mécanique, épierrage, aspiration, et triage optique. Stockage en silo.
Semis : Novembre
Récolte : Juillet
Riche en protéines et acides gras insaturés, on peut faire avec le pois carré tous types de recettes. Il se cuisine comme les fêves dont il rappelle le goût, mais peut aussi se cuisiner comme les pois chiches, ou les haricots secs.
Cependant comme vous le constaterez le pois carré est plus ferme que la fève ou encore que les haricots. On peut les faire en salade, en purée, en plats mijotés, ou les faire germer 2 à 3 jours.
En Italie la cucina povera (littéralement cuisine pauvre), cuisine le pois carré avec des pâtes et une sauce tomates aux oignons, dans laquelle l’alliance céréale et légumineuse constitue un plat complet et riche en protéines. Faites confiance à la cuisine italienne, c’est délicieux !
Mais on peut aussi réaliser avec les pois carrés des recettes plus contemporaines, comme par exemple une salade de pois carrés, patate douce et chou kale.
On peut également confectionner des houmous, des veloutés, des soupes gourmandes…
Laissez aller votre créativité, ils ne demandent qu’à être testé !
Découvrez nos recettes
Les quelques pois chiches mis de côté, pour le dressage, peuvent se chauffer à part, avec une pointe de gingembre râpé et amandes concassées, le tout déglacé au vieux vinaigre de vin. Découvrez ces délicieux petits haricots porte-bonheur avec cette savoureuse recette de Chili sin carne ! A déguster avec du riz ou dans un wrap accompagné de salade. Ce bouddha bowl de falafel réalisé avec des pois chiches entiers est une variante des « bonbons piments », spécialité réunionnaise, réalisée à base d’haricots de Lima. Pourquoi pas l’essayer avec nos haricots rouges ? Les branches de fenouil sec ou bulbe de fenouil frais -femelle de préférence- au parfum méditerranéen, convient bien a la cuisson du poisson. Essayez aussi, avec de l’origan, tout aussi parfumé.Cake pois chiche / basilic / cumin
Chili sin carne
Buddha Bowl de falafels revisités
Lisette / pois cassés; en deux cuissons
Ce légume sec de la famille des légumineuses a été un peu oublié. La culture des pois carrés en France est rare et nous sommes ravis de vous proposer cet ancien légume qui est très digeste, riche en protéines et contient de nombreux micro-nutriments essentiels à notre pleine santé.
Ces pois contiennent un fort taux de protéine et de lipide. Ils possèdent également une intéressante proportion de minéraux (fer, manganèse, cuivre, phosphore, magnésium, zinc…) et vitamines (B1, B9, B2, B3, K). Il est important de souligner qu’il contient des glucides extrêmement denses et nutritifs.
Jeter l’eau de trempage qui contient la lathyrine (un excès régulier de ce principe peut être toxique).
Elle renferme de la lévodopa. Cette molécule est l’un des composants des traitements antiparkinsoniens.
Du fer. Chaque cellule du corps contient du fer. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux).
Du manganèse qui agit comme cofacteur de plusieurs enzymes qui facilitent une douzaine de différents processus métaboliques. Il participe également à la prévention des dommages causés par les radicaux libres.
Du cuivre. En tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme.
De la vitamine B1. Appelée aussi thiamine, la vitamine B1 fait partie d’un coenzyme nécessaire à la production d’énergie principalement à partir des glucides que nous ingérons. Elle participe aussi à la transmission de l’influx nerveux et favorise une croissance normale.
Du folate. Le folate (vitamine B9) participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance.
Il dispose de phosphore. Le phosphore constitue le deuxième minéral le plus abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. De plus, il participe entre autres à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à la normale le pH du sang. Finalement, c’est l’un des constituants des membranes cellulaires.
Du magnésium, qui participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Il joue aussi un rôle dans le métabolisme de l’énergie et dans la transmission de l’influx nerveux.
Du zinc, qui participe notamment aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la synthèse (fabrication), à la mise en réserve et à la libération de l’insuline.
Le pois carré contient aussi du potassium, et des vitamines B2, B3, K…
Afin de s’assurer de bien profiter des protéines des légumineuses, il est nécessaire de les combiner avec un produit céréalier, ou des noix et graines.
En effet, les pois carrés, tout comme les autres légumineuses, ne contiennent pas tous les acides aminés (molécules formant les protéines) dont notre corps a besoin pour une assimilation parfaite des protéines. Les produits céréaliers (blé, riz, etc.) et les noix et graines contiennent les acides aminés essentiels complétant celles des légumineuses. Cela tombe bien, les recettes traditionnelles ont toujours conservé ce principe : haricot / riz, haricot / semoule pois chiche / blé…
Chez les adultes, il n’est pas nécessaire de rechercher cette complémentarité au sein d’un même repas, car le fait de l’obtenir dans la même journée est habituellement suffisant. Chez les enfants il est préférable d’atteindre la complémentarité des protéines au même repas.
Soja, Gluten, Moutarde (sauvage).
Les graines de gesse sont des légumes secs consommés depuis le début du néolithique en Europe du Sud, en Inde du nord et dans la corne de l’Afrique.
Domestiquée dans les Balkans il y a 8000 ans, elle était cultivée bien avant l’ère chrétienne pour ses pois et pour le fourrage en Espagne et au Portugal, et beaucoup plus tard en France.
Sa culture est pratiquement abandonnée aujourd’hui en France (quelques îlots de culture dans notre Sud-Ouest sous le nom de « fèvette », alors qu’elle est encore cultivée au sud de l’Espagne et en Ethiopie jusqu’en Inde et au Bangladesh.
L’Éthiopie est un producteur significatif. Sa culture se rencontre encore en Italie (sous le noms de cicerchia), en Espagne (alverjón) dont on fait de la farine qui sert à confectionner les gachas une sorte de purée, et au Portugal (chícharos).
La plante, de type herbacée, munie de vrilles peut atteindre 50 cm de hauteur. Elle enferme des graines par 2, 3 ou 4 dans une gousse courte mais plutôt large.
Cette graine atypique est beige à vert pâle, irrégulière, carrée de face et plus ou moins triangulaire de profil, un peu cabossés comme des petits coussins.
On lui donne de nombreux noms : « gesse d’Italie », « gesse d’Espagne », « févette », « gesse blanche », « gesse cultivée », « lentille d’Espagne », « dent de brebis », « pois-breton », « pois-gesse », « lentille de Hongrie ».
La plante est peu exigeante sur la nature du sol. Elle est donc dans l’histoire attachée à la pauvreté, ce qui lui a valu le détachement des populations.
Ce produit est conditionné sous atmosphère protectrice. Après ouverture, à conserver au sec et à l’abri de la lumière.
Le Saviez vous ?
Les pois carrés sont consommés en Espagne pour réaliser un plat ancestral, le « gachas », qui signifie « bouillie », ou « purée ». Aliment de base d’origine très ancienne, ce plat a survécu dans les zones rurales et dans les foyers fort modestes où il constitue une nourriture riche en protéines nécessaires pour l’exécution des travaux des champs.
À cause de certains préjugés et du snobisme, ce plat de base très ancien a été remplacé au XXe siècle par du riz ou des pommes de terre, plus particulièrement dans les villes. Mais contrairement à ce que l’on croit, les gachas peuvent constituer un plat très fin.
Contrairement à ce qu’on peut lire ici ou là, le pois carré n’est pas toxique. En effet, les sélections de semences, et sa culture en climat tempérée, permettent de rendre la toxicité de la graine quasiment nulle. Il est cependant conseillé de ne pas en consommer tous les jours et de faire tremper les graines dans un grand volume d’eau, ce qui diluera et finira d’éliminer la lathirine, et rendra vos graines parfaitement consommables.
Nos autres produits :
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Cécile BORY (client confirmé) –
Pas encore goûtée
LOZANO MANUEL (client confirmé) –
Claire-Marie MAUDRY (client confirmé) –
Anonyme (client confirmé) –
Très beaux pois carrés bio. Belle découverte pour nous. Félicitations aux producteurs !
junior c. (client confirmé) –
Parfait , sauf l’emballage en plastique pas top niveau écologie..
MARIE BEIGNET (client confirmé) –
Nathalie –
J’ai testé ces légumineuses par curiosité et je suis conquise. Attention il faut bien les cuire (voire même avec un peu de bicarbonate) pour les rendre fondantes, et c’est une saveur unique. Un véritable délice. Bravo à vous.