Soupe au pistou
Cette soupe sera nous ravir aussi bien en été qu’en automne. De quoi profiter des tomates et courgettes de fin de l’été accompagnées de haricots rouges.
Très digeste, mi- croquant, mi- fondant, le grain de petit épeautre a un goût plus typé que celui du blé, et développe des arômes de noisette.
Cette céréale – très peu modifiée depuis son origine – est aujourd’hui redécouverte et appréciée pour sa grande digestibilité ainsi que pour sa teneur en magnésium, phosphore et calcium.
2,80 €
Poids | 0,250 kg |
---|---|
Dimensions | 7 × 5 × 16 cm |
TECHNIQUES TRADITIONNELLES
ET ÉQUIPEMENTS DE POINTE
Conseillé de 3 à 12h
20 mn (après trempage) à 40 mns (sans trempage)
60 à 80g / pers
Simplissime
– Parfumez votre préparation en faisant revenir votre petit épeautre cuit à la poêle dans un peu d’huile, avec de l’ail, de l’oignon, et tout autre accompagnement : lardons, seitan, tofu…
Suivez les conseils de Chef Philippe pour les cuissons et techniques de trempage des graines !
Le conseil cuisine
Vérifiez régulièrement au cours de la cuisson pour un grain à la texture ferme et moelleuse.
Il est très agréable en bouche et se prête aussi bien aux salades qu’aux préparations mijotées. Sa saveur fine se marie très bien avec un poisson, convient à merveille pour un rizotto revisité.
En dessert testez le « riz »au lait version petit épeautre, vous surprendrez vos convives.
Nature du sol : sol argileux, exposé aux rayons du soleil du Sud de la France.
Méthode de culture : Agriculture biologique, sans labour, faux semis, couvert végétal l’hiver, désherbage mécanique.
Triage et stockage : Triage mécanique, décorticage, aspiration, et triage optique. Stockage en silo, refroidissement par ventilation.
Semis : Fin octobre / Novembre
Récolte : Juillet
La cuisson parfaite Cette céréale se cuit dans deux fois son volume d’eau. Rincez et égouttez le petit épeautre. Placez-le dans un faitout avec l’eau froide. Porter à frémissements, couvrez et laissez cuire 20 mn (après trempage) à 30 mns (sans trempage). Coupez le feu et laisser gonfler pendant 5 à 10 mn à couvert. Egouttez si nécessaire. Il se cuisine comme du riz : en salade, sucré, salé, en risotto, mais aussi en taboulé ou bien en gratins. Avec son parfum de noix, le petit épeautre change agréablement des classiques. Essayez-le, vous serez surpris de sa texture ! |
Découvrez nos recettes
Cette soupe sera nous ravir aussi bien en été qu’en automne. De quoi profiter des tomates et courgettes de fin de l’été accompagnées de haricots rouges.
Très bon même sans viande ! Avec les restes quelques tortillas, un peu de guacamole et voilà de délicieux burritos zéro déchet !
Ce bouddha bowl de falafel réalisé avec des pois chiches entiers est une variante des « bonbons piments », spécialité réunionnaise, réalisée à base d’haricots de Lima. Pourquoi pas l’essayer avec nos haricots rouges ?
Vous pouvez préparer cette recette avec du poulpe déjà cuit. Et même avec de la seiche fraiche, plus facile à cuisiner.
Je vous conseille de le servir avec les haricots saumon avec du riz, ou du riz-lentilles, comme aux Antilles.
Le petit épeautre est un aliment d’une grande qualité.
Il contient les 8 acides aminés (composants des protéines) essentiels à l’organisme.
Abondant en divers minéraux, vous y retrouverez une bonne dose de fer, de zinc ou encore de phosphore pour ne citer que ceux-là. La consommation de petit épeautre participe donc à soutenir les défenses immunitaires, la sphère cardiaque et donner plus de résistance aux os.
Cette céréale contient en plus de nombreuses vitamines.
Très riche en fibres solubles, il est possible d’introduire le petit épeautre et sa farine dans l’alimentation du quotidien pour faciliter le transit intestinal, empêcher le stockage de graisses dans l’organisme, développer la flore intestinale et aussi participer à la sensation de satiété.
C’est un concentré d’énergie naturelle qui vous aidera à retrouver toute votre vitalité !
Il se distingue enfin par son faible taux de gluten.
La teneur en gluten du petit épeautre est d’environ 7 %. C’est un atout pour les personnes hypersensibles qui souhaitent éviter les désagréments associés à la consommation de gluten.
Ayant très peu changé au fil des siècles et n’ayant pas été croisé à ses fins, le gluten du petit épeautre qu’il contient est mieux assimilé que celui du blé. Une étude (Pizzuti D., 2006) a récemment montré que les gliadines qu’il contient ne sont pas toxiques en système de culture d’organes in vitro.
Le petit épeautre possède donc des glutens digestes qui ne déclenchent pas d’allergies ou d’intolérance au gluten. On ne peut toutefois pas le conseiller en cas de maladie cœliaque.
Ces nombreux atouts permettent au petit épeautre de se distinguer largement des autres céréales et expliquent l’intérêt croissant que les nutritionnistes et les consommateurs lui confèrent.
Pour ce qui est des protéines, le petit épeautre apporte à l’organisme les 8 acides aminés essentiels qui, faute d’être synthétisés par l’organisme, doivent nécessairement être apportés par l’alimentation. Le petit épeautre a la particularité de contenir de la lysine, l’acide aminé facteur limitant des autres céréales.
La lentille fournit principalement de l’amidon (glucide complexe), dont la consommation est préférable à celle des glucides simples. Grâce à sa richesse en protéines et en fibres, elle a un index glycémique bas: ses glucides, digérés lentement, n’occasionnent pas de pic de glycémie. Elle est donc particulièrement profitable en cas de diabète.
Elle apporte aussi des glucides rares en petites quantités (raffinose et stachyose), qui peuvent être considérés comme des prébiotiques et sont bénéfiques pour notre santé puisqu’ils nourrissent de bonnes bactéries du microbiote intestinal.
Sa composition en éléments minéraux est bien équilibrée. O. Benlhabib (2005) affirme que 100 g de petit épeautre contiennent 4 fois plus de magnésium que son équivalent en riz brun et 5 fois plus que 100 g de steak, qu’ils apportent le quart de la ration journalière conseillée en calcium, soit l’équivalent de 2 verres de lait. Pour le phosphore, sa teneur est de 50 % supérieure à celle du blé et fait 5 fois celle du soja. Cela lui permet de couvrir la moitié du besoin journalier en phosphore.
En zinc, la teneur est 30 % supérieure à celle du blé.
Or, le magnésium est un antistress, le phosphore participe à notre activité cérébrale et le calcium à notre métabolisme osseux.
Cette culture est aussi intéressante du point de vue des vitamines : il est plus riche en vitamines B1 et B2 qu’un blé moderne, et contient 3 à 4 fois plus de bêtacarotène (qui lui donnent sa couleur légèrement orangée), mais aussi en lutéine, un pigment qui protège notre vision et dont la consommation est recommandée dans la prévention de la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge). Ces éléments sont bien connus pour leurs propriétés antioxydantes qui permettent entre autres de prévenir le vieillissement cellulaire.
De plus, ses teneurs en vitamine A sont 35 fois plus élevées que celle du blé !
Le petit épeautre contient les 8 acides aminés (composants des protéines) essentiels à l’organisme : tryptophane, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, valine, leucine et isoleucine.
Si les protéines animales les réunissent tous, ce n’est pas le cas des protéines végétales. Ainsi, les céréales sont généralement pauvres en lysine quand les légumineuses le sont en méthionine, ce qui explique qu’il faut combiner les deux dans un régime végétarien pour éviter certaines carences. Le petit épeautre, lui, fait partie des rares céréales à les associer. Le petit épeautre peut désormais être votre allié après d’intenses efforts physiques.
Abondant en divers minéraux, vous y retrouverez une bonne dose de fer, de zinc ou encore de phosphore pour ne citer que ceux-là. La consommation de petit épeautre participe donc à soutenir les défenses immunitaires, la sphère cardiaque et donner plus de résistance aux os. Cette céréale contient en plus de nombreuses vitamines.
Très riche en fibres solubles, il est possible d’introduire le petit épeautre et sa farine dans l’alimentation du quotidien pour faciliter le transit intestinal, empêcher le stockage de graisses dans l’organisme, développer la flore intestinale et aussi participer à la sensation de satiété.
C’est un concentré d’énergie naturelle qui vous aidera à retrouver toute votre vitalité !
Gluten, Soja
Moutarde (sauvage)
VALEURS NUTRITIONNELLES | 1450 kJ/100g – 343kcal/100g 2,24g/100g 0,37g/100g 62,4 g/100g 3,17g/100g 12,1 g/100g 11 g/100g 0,0088g/100g |
|||||
Valeur énergétique Quantité de matières grasses Dont acides gras saturés Glucides Dont sucres Protéines Fibres Sel |
||||||
Aux origines de l’agricultureC’est durant le néolithique, dans le Croissant fertile, il y a plus de 10.000 ans que les hommes qui vivent de chasse et de cueillette ont l’idée de récolter des graines de cette graminée sauvage. Cette première culture domestiquée qui permet de sélectionner les épis les moins fragiles et les plus faciles à récolter correspond à la naissance de l’agriculture. Quelques sites préhistoriques donnent des traces de petit épeautre dans le Var vers 7.000 ans avant J-C. L’agriculture romaine préférait le froment et surtout la vigne et l’olivier, ce qui reléguât le petit épeautre sur les terres non cultivées de l’arrière-pays. Au 5ème siècle après J-C, avec la chute de l’empire romain, les peuplades nordiques envahissent la Provence et provoquent l’exode de populations dans les arrière-pays. Le petit épeautre grâce à ses qualités de robustesse et de conservation permet à ces populations de survivre. On le retrouve tout au long du moyen âge provençal jusqu’à nos jours. Au cours des 5.000 dernières années, le petit épeautre a été remplacé par les blés modernes du fait de ses faibles rendements et du travail de transformation qu’il exige. Le petit épeautre a conservé son patrimoine génétique depuis son origine. |
L’engrain cultivé est une plante de taille moyenne pouvant atteindre 80 à 120 cm. Les épillets contiennent généralement un seul grain d’où le nom d’engrain pour « un grain ». C’est une céréale à faible rendement, adapté aux sols pauvres et arides. La difficulté est de décortiquer les grains entourés de leur balle, ce qui réduit encore le rendement net puisque le taux de balle dans le grain est proche de 40 %. Longtemps délaissé pour cause de faible rendement, et donc peu de profit, cette variété est aujourd’hui redécouverte et appréciée pour sa richesse exceptionnelle en magnésium, phosphore et calcium, ainsi que sa grande digestibilité. C’est sa rusticité et ses capacités d’exploration du sol et d’extraction des nutriments élevés qui lui donne ces atouts si particuliers. Cette céréale n’a pas été modifiée depuis son origine car elle est très fortement autogame et n’a pas été l’objet des grands programmes de sélection moderne. |
Le Saviez vous ?
Attention, aux faux-amis ! En dépit de leurs similitudes de patronyme, le petit épeautre – ou engrain – n’appartient pas à la même espèce que l’épeautre – ou grand épeautre.
Ce dernier est plus facile à produire et offre un rendement supérieur (bien qu’inférieur à celui du blé).
Ses qualités nutritionnelles sont également inférieures à celles du petit épeautre, alors qu’il est moins digeste.
Entre le petit épeautre et le blé, il y a une différence essentielle : le grain de l’épeautre ne se décortique pas spontanément, contrairement à celui du blé dont les enveloppes s’enlèvent facilement à la récolte.
Ainsi avec le blé on ne surchargeait pas inutilement les charrettes, et le petit épeautre fut peu à peu délaissé.
Après la période romaine il a été progressivement remplacé par le blé car son rendement été assez faible.
Les peuples d’Egypte, les Romains et les Gaulois le cultivaient. La Bible le mentionne plusieurs fois.
Nos autres produits :
Seuls les clients connectés ayant acheté ce produit ont la possibilité de laisser un avis.
Ludivine D. (client confirmé) –
Laurent M. –
Je recommande. J’ai été étonné par la texture et la facilité de cuisson.